Ai-je besoin d'un antibiotique pour traiter ma sinusite ? Devrais-je subir une mammographie dans le cadre du programme de dépistage du cancer du sein ? La prise de statines pour traiter mon cholestérol est-elle indiquée ? Pour pouvoir donner un consentement valide à chacun de ces soins, encore faut-il obtenir suffisamment d'information. Dans les faits, à quel point les consentements des patients sont-ils éclairés ?
Rédigé dans un style clair et accessible, cet ouvrage s'intéresse à l'adéquation entre les principes juridiques qui définissent le consentement éclairé aux soins et la réalité. À l'aide d'une approche interdisciplinaire et empirique, l'autrice y analyse notamment la conformité des pratiques cliniques avec les normes juridiques et déontologiques en vigueur, la portée des sanctions en cas de non-respect de même que les effets des normes et leurs facteurs d'effectivité.
En définitive, le lecteur pourra constater l'écart qui existe entre le droit posé et le droit vécu, ce qui soulève une question cruciale : « Comment assurer un meilleur consentement éclairé pour les patients ? »
Ai-je besoin d'un antibiotique pour traiter ma sinusite ? Devrais-je subir une mammographie dans le cadre du programme de dépistage du cancer du sein ? La prise de statines pour traiter mon cholestérol est-elle indiquée ? Pour pouvoir donner un consentement valide à chacun de ces soins, encore faut-il obtenir suffisamment d'information. Dans les faits, à quel point les consentements des patients sont-ils éclairés ?
Rédigé dans un style clair et accessible, cet ouvrage s'intéresse à l'adéquation entre les principes juridiques qui définissent le consentement éclairé aux soins et la réalité. À l'aide d'une approche interdisciplinaire et empirique, l'autrice y analyse notamment la conformité des pratiques cliniques avec les normes juridiques et déontologiques en vigueur, la portée des sanctions en cas de non-respect de même que les effets des normes et leurs facteurs d'effectivité.
En définitive, le lecteur pourra constater l'écart qui existe entre le droit posé et le droit vécu, ce qui soulève une question cruciale : « Comment assurer un meilleur consentement éclairé pour les patients ? »